Le jour où mon père m’a tué qui sera à l’affiche de Lavoir Moderne Parisien les 27 et 28 mai à 19h et le 29 mai à 15h. Charlotte Boimare, co-autrice avec Magali Solignat, s’est prêtée au jeu du portrait chinois.

Si vous étiez un cocktail, lequel seriez-vous ? 
Le spritz pour la couleur, le sucre et l’amertume.

Si vous étiez un langage ? 
Ce serait le portugais du Brésil parce c’est musical, rythmé et sensuel.

Si vous étiez une musique ? 
Ce serait de la musique classique pour le rythme et la rigueur. Je suis également attaché à la notion de partition, qui est très importante quand on écrit.

Si vous étiez un objet d’art ?
Ce serait une maison au style Gaudi à cause de sa liberté qui génère de la folie. Alors que tout est bien pensé.

Si vous étiez un mouvement ?
Ce serait le hip-hop.

Si vous étiez une origine ?
Je serai bretonne. C’est fou parce qu’en Guadeloupe, il y un lieu qui fait complètement penser à la côte sauvage en Bretagne. C’est la pointe des Châteaux.

Si vous étiez une personnalité ?
Je serais Joël Pommerat.

Quelle est la couleur de la plume ?
Ce serait bleu nuit car notre personnage s’appelle Black Bird et ça me fait penser à un oiseau de nuit et à du bleu.

Quelle est votre plume inspirante ?
Ce serait la psychanalyse.

Propos recueillis par Laurent Schteiner

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